Nano-imagerie des éléments traces
le 16 juillet 2020
Interdisciplinarité : des géologues travaillant sur l'analyse quantitative de la fluorescence X (dont Laurence Lemelle du LGL-TPE), des spécialistes de la nano-imagerie en X et des chercheurs étudiant la maladie de Parkinson ont combiné leurs forces pour une publication consacrée à l'application de la nano-imagerie aux maladies dégénératives.
Image de la composition en P/Fe/S d'une coupe de neurone de la substantia nigra. Le corps du neurone et de son noyau sont contourés par une ligne en tirets. Des granules cytosoliques riches en fer et en soufre sont pointées par les flèches.
Les traces de métaux à l'échelle nanométrique nous réservent des informations précieuses sur les plus anciennes traces de vie, sur les processus majeurs de géobiologie et planétologie mais aussi sur les processus métaboliques fondamentaux en biologie. Le développement de dispositifs de nano-focalisation très efficaces réalisés dans les années 2000 et celui de sources synchrotron de 4ème génération de plus en plus brillantes, ouvrent la voie vers de nouvelles possibilités analytiques de ces traces.
Retrouvez la suite de cette actualité sur le site de l'INSU en cliquant ici et l'article de Communication Biology en cliquant ici.
Publié le 16 juillet 2020
